Depuis 1999, les pharmaciens sont autorisés à substituer un médicament générique au médicament de référence prescrit, à condition que ce médicament soit dans le même groupe générique et que le médecin n’ait pas exclu cette possibilité par l’apposition de la mention « non substituable » sous forme d'acronyme sur l’ordonnance accompagnée du motif médical justifiant ce refus de substitution3.
Pour limiter le risque de confusion par le patient, le pharmacien doit indiquer sur l’ordonnance le nom du médicament qu'il a substitué (conformément à l'Article L5125-23, du Code de la Santé Publique).3
Viatris est engagé aux côtés de l’ensemble des professionnels de santé pour informer les patients sur les médicaments génériques et pour développer l’utilisation de ces traitements de qualité en France.